Titre :	La Métamorphose des plantes
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Johann Wolfgang von Goethe, Auteur ; Rudolf Steiner, Éditeur scientifique ; Henriette Bideau, Traducteur
Editeur :	Paris : "Triades"
Année de publication :	1975
Oeuvres / Expressions :	Versuch die Metamorphose der Pflanzen zu erklären : français
Importance :	272 p.
Présentation :	ill., couv. ill. en coul.
Format :	25 cm
Prix :	42 F
Note générale :	En appendice, choix de textes de Goethe Bibliogr. p. 269-270
Langues :	Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Mots-clés :	morphologie,métamorphose,plante
Index. décimale :	57
Note de contenu :	Par la découverte de la la métamorphose, Goethe n'enrichit pas d'une rubrique supplémentaire la table des catégories : il introduit un changement radical. C'est désormais la pensée elle-même qui se plonge dans l'élément du devenir. Elle renonce à la fixité du concept parce qu'elle se sait assez forte pour éprouver, pour expérimenter le passage d'une forme dans une autre. Elle pénètre alors dans le flux des forces formatrices qui constituent ce "corps de temps", propre à l'organisme vivant, auquel Rudolf Steiner devait donner plus tard le nom de corps éthérique.

La Métamorphose des plantes [texte imprimé] / Johann Wolfgang von Goethe, Auteur ; Rudolf Steiner, Éditeur scientifique ; Henriette Bideau, Traducteur . - Paris : "Triades", 1975 . - 272 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 25 cm.
42 F
Oeuvre : Versuch die Metamorphose der Pflanzen zu erklären : français

En appendice, choix de textes de Goethe
Bibliogr. p. 269-270
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)

Mots-clés :	morphologie,métamorphose,plante
Index. décimale :	57
Note de contenu :	Par la découverte de la la métamorphose, Goethe n'enrichit pas d'une rubrique supplémentaire la table des catégories : il introduit un changement radical. C'est désormais la pensée elle-même qui se plonge dans l'élément du devenir. Elle renonce à la fixité du concept parce qu'elle se sait assez forte pour éprouver, pour expérimenter le passage d'une forme dans une autre. Elle pénètre alors dans le flux des forces formatrices qui constituent ce "corps de temps", propre à l'organisme vivant, auquel Rudolf Steiner devait donner plus tard le nom de corps éthérique.